Aujourd’hui nous nous attaquons au site du musée français le plus connu au monde, le Louvre : http://www.louvre.fr/
Le Louvre, en tant que « Muséum central des Arts», existe depuis 10 août 1793 et fut dès lors destiné aux visites d’artistes mais aussi au public. Depuis cette date, le musée n’a cessé de s’agrandir et de s’adapter aux nouveaux courants artistiques.
Le page d’accueil du site du musée est dans les tons du logo du Louvre : noir et blanc. En fond, on remarque une photo de la structure de la pyramide du Louvre. Prise lors d’un ciel nuageux, la photographie de la structure de la pyramide, en matériaux foncé, crée un contraste aux couleurs du logo. Sur cette même page, certaines nouvelles expositions et interactions du musée défilent tandis que d’autre non. Le site est disponible en quatre langues, mais des informations essentielles à une visite sont disponibles en beaucoup plus de langues. Au sommet de la page sont présents les différents liens qu’on trouve le pus souvent sur les sites de musée, à savoir : informations pratiques, visites & activités, expositions et actualités, œuvres & palais et art & éducation. Lorsque l’on clique sur ceux-ci, le site ouvre une nouvelle barre – de couleurs différentes suivant le lien ouvert – où on peut voir toutes les sous-parties. Elles sont accompagnées d’ une photographie. Cette division du site est bien organisée et les couleurs structurent notre recherche. On retrouve ces mêmes informations et leurs « sous-parties » en bas de la page d’accueil du site. Dès celle-ci la possibilité est offerte de faire un don au musée mais également d’en savoir plus sur la place du Louvre dans le monde. Je ne vais pas les analyser, l’article deviendrait trop long et on s’éloignerait de notre but premier : les informations concernant le jugement de Pâris. Pour finir sur la description de cette première page, on note la présence d’un cartel de 5 petits logos (Rechercher une œuvre, Agenda, Médias, Billetterie et Boutique) qui suivent le défilement de la page. Ainsi, nous avons beaucoup d’informations qui nous sautent aux yeux dès ce premier aperçu du site. Certaines données les plus importantes sont mises en valeur, comme les expositions récentes, tandis que d’autre secondaires se répètent plusieurs fois (comme pour les dons en ligne).
Pour notre recherche, le chemin le plus pertinent à prendre semble être « œuvres et palais » puis « rechercher une œuvre ». En tapant les mots de notre sujet, plus de 1000 œuvres sont trouvées! En y jetant un coup d’œil, on réalise que peu traitent du jugement de Pâris… La moteur de recherche n’est donc pas des plus perspicace ! En ôtant « de », qui aurait pu parasiter notre recherche, le nombre d’occurrence diminue au nombre de 44. Mais là encore, des objets sont présents alors qu’ils ne portent pas sur le mythe. La barre de recherche donne les liens d’objets qui traitent d’un quelconque jugement ou de Pâris, mais pas nécessairement des deux réunis. C’est pourquoi nombreuses sont les recherches où les résultats se comptent par centaine.
D’après notre recherche, le Louvre ne conserve aucune œuvre du XVI ou du XVIIe siècle sur le thème que nous étudions. L’absence d’œuvre répondant à notre problématique change l’intérêt de cet article. Néanmoins, la renommée et la popularité du musée peut tout à fait justifier l’écriture de celui-ci. En effet, le Louvre est le musée le plus visité au monde et c’est donc d’en cette optique que nous allons orienter la fin de notre développement.
Une mosaïque du Jugement de Paris datée de l’Antiquité est exposée au musée et c’est à travers elle que nous allons comparer la transmission de connaissance du musée au spectateur. A l’instar des sites des plus documentés, le Louvre fourni une quantité d’informations sur l’objet étudié : lieu de trouvaille, date, taille, localisation dans le musée… De plus, il y a une analyse de l’œuvre expliquant le sujet du mythe dans le contexte de l’œuvre et de ce qu’a pu vouloir transmettre l’artiste. Plus bas sur la page, une riche bibliographie est communiquée et comprend des ouvrages français mais aussi étrangers. Contrairement à d’autres sites muséaux étudiés, il n’y a pas de plan indiquant la salle dans laquelle se trouve l’œuvre (simplement le numéro de la salle est communiqué). Pour localiser l’objet, le visiteur doit se rendre sur l’onglet principal « informations pratiques » puis « plan du musée ». Une image interactive permet au visiteur d’avoir accès à une carte du musée où sont mis en couleurs les différents genre d’œuvres exposées dans le Louvre. Le plan du site est téléchargeable en quatorze langues différentes. C’est le seul musée, jusqu’ici étudié, qui soit à se point polyglotte ! A droite de cette page, on remarque les chefs d’œuvres de chaque salle du niveau sélectionnée. Mais revenons sur la page de la mosaïque, aucune image n’est présente, aucun zoom ou détail de l’œuvre!C’est tout à fait étonnant quand on voit le développement de certaines parties ou interactivités du site (tel que les visites guidées en ligne).Cette colossale absence mais aussi le manque de précision de la barre de recherche ternissent profondément le site.
Ce site internet est à l’image du Louvre, un espace qui est vaste mais bien organisé. De nombreux liens se répètent à différents endroits sur la même page, la rendant plus fournie mais donc moins claire. Cependant, lorsqu’on réalise la quantité de données qui sont présentes sur le site du musée, tous les moyens multimédias disponibles, ce dernier semble alors avoir une organisation des plus appropriée.